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La Plongée en Malaisie
les îles Perhentian en Malaisie
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Les îles Perhentian sont située à 25 km au large de la côte est de la péninsule de Malaisie et indiquent l'emplacement pour des vacances de plongée. Les deux îles se composent de Pulau Perhentian Besar (Big Island) et Pulau Perhentian Kecil (Small Island).
- Il existe des sites de plongée autour de ces deux îles et d'autres petites îles voisines.
- L'appellation «Perhentian» signifie en fait «escale» résultant de pêcheurs qui utilisent les îles comme lieu de repos.
- Les seuls habitants vivent dans un petit village de pêcheurs sur Perhentian Kecil.
- Le reste des îles sont inhabitées, à l'exception des stations dispersées sur les plages frangeant.
- Inland, les îles sont couvertes de jungle épaisse. Aquarelles propose un choix d'hébergements dans les deux îles.
- Hébergement en chambres et forfaits spacieuses et climatisées peut être réservé à notre Impiani Resort, alors hébergement standard peut être réservé à notre Paradise Resort.
- Il ya beaucoup d'activités pour vous tenir occupé pendant votre séjour. Plongée sous-marine, trekking dans la jungle et la plongée sous-marine sont des activités populaires.
- Si la plongée dans des eaux chaudes tropicales n'est pas votre truc, les îles Perhentian sont quelques-unes des plus belles plages de Malaisie.
- Il est même possible de prendre un taxi d'eau et farniente sur une plage déserte pour la journée.
- Nous proposons un hébergement en front de mer à la fois de nos stations, de sorte que vous pouvez simplement vous asseoir sur votre terrasse avec une boisson fraîche à la fin de la journée.
- Plongée sous-marine Plongée sous-marine est une activité populaire pour de nombreux visiteurs de ces rivages.
- Les eaux environnantes de Perhentian contiennent quelques-uns des meilleurs sites de plongée de la péninsule de Malaisie et de la mer de Chine du Sud.
- La plongée est facile, avec de nombreux sites de plongée (plongées sur épaves et les plongées de récif) à choisir.
- Comme la plupart des sites de plongée sont dans le parc marin, les coraux sont en bon état et le poisson-vie abondante.
- La saison de plongée dans la péninsule de Malaisie va de Février à la fin de Novembre.
- Nous allons la distance supplémentaire pour nos clients des centres de plongée!
- Nous disposons d'une taille maximale de groupe de 4 personnes par cours de plongée sous-marine.
- Cela signifie que vous obtenez une attention individuelle et obtenir le plein bénéfice de l'enseignement fourni.
- Nous avons une politique de «poisson non ailettes» sur notre plongée de plaisir aussi, un maximum de 4 plongeurs par groupe signifie que vous voyez plus de la vie aquatique. De nos douze personnel de plongée (en haute saison), nous employons 11 instructeurs PADI et 1 Divemaster.
- Cela garantit même votre chef de plongée est formé à un niveau élevé! Nous croyons que notre briefing et débriefing discuter de la plongée et de la vie marine sont la meilleure offre.
- Nous avons toujours les livres de poisson afin que nous puissions identifier la vie marine que vous avez vu autour d'une collation de plongée libre et thé ou café. N'oubliez pas de regarder notre présentation ReefTalk et examiner notre trousse de sondage Reef Check!
- Et aussi nous contacter pour voir si vous pouvez participer à une plongée récif-propre ou de nettoyage des plages. Nous prenons beaucoup de fierté en gardant soin de notre environnement local et nous aimons les plongeurs qui montrent le même enthousiasme.
The Sugar Shipwreck « Union Star »
En arrivant sur le site, nous apercevons tout de suite la coque de l’Union Star, 6m sous la surface. On distingue d’ailleurs très bien les oursins diadème qui la colonise. Tout le monde est en extase, et Troy nous avoue qu’il n’y a jamais vu l’eau aussi claire.
Après le petit (encore) rituel du buddy check, nous basculons à l’eau. Et nousvoici rapidement sur la carlingue de l’épave, en direction de la poupe, où nous passons à côté de l’impressionnante hélice. Nous arrivons alors sur le fond sableux. La navire ayant coulé en plusieurs heures, s’est déposé lentement, et est resté intact.
Nous passons sur la partie la plus intéressante, le pont. Le mât, surmonté du poste de vigie, est couché délicatement sur le sable. Nous le contournons, ce qui nous donne une vue imprenable sur le navire.
La visibilité est un peu moins bonne au fond, ce qui
m’empêche d’immortaliser l’épave entière sur un même
cliché. Mais Kate m’affirmera que pour elle c’est la première
fois qu’elle voit le fond du haut de l’épave. Nous sommes
chanceux.
En retrouvant le pont, voici presque posé sur la charpente, deux superbes rascasses volantes, nageoires déployées, toutes voiles dehors !
Cette fois, il s’agit de l’espèce commune Pterois volitans, la dernière fois à Tokong Laut, nous contemplions l’espèce zébrée P. zebra. Je les approche lentement, jusqu’à ce que mon objectif soit au plus près… Elle ne bougerons pas d’une écaille!
Pour rejoindre la proue, nous nous glissons à l’interieur du navire, dans une salle sombre, par laquelle nous devinons juste la forme en contrejour de centaines de demoiselles, espèces voisines de nos castagnoles méditerranéennes.
En sortant des entrailles du monstre d’acier, sur le sable, je remarquerai plusieurs petits trous, protégés par un gobie. Après quelques secondes d’observation, je verrai sortir une petite crevette poussant le sable hors de sa tanière. Impossible d’en tirer une photo, trop rapide.
Au bout de l’épave, nous survolons les restes de gros projecteurs concrétionnés, et une poulie portant encore ses cordes. Nous repartons dans le sens inverse, au niveau des 12m. Kate dégotte 3 poissons pierre: moi qui ait l’habitude des rascasses de Méditerranée, je peine à les distinguer ! Elles sont immobiles bien sà»r, et se fondent complètement dans le décor. Attention à ne pas mettre la main dessus, celles-ci sont bien plus dangeureuses.
Un peu plus loin, un petit poisson boîte fait un passage furtif… ces petits poissons à la forme improbable ne sont pas faciles à photographier. Nous voici revenu vers la poupe après plus de 50 min d’immersion. Nous finissons la plongée sur le flan babord du navire, le haut de l’épave. Un platax nous attend… La visibilité est très bonne, et les reflets du soleil offrent des jeux de couleurs sur la coque, au milieux des petits acropores et des multiples oursins diadème. Certains d’ailleurs, agitent bizerrement leurs longs piquants. Quel en est la raison ? Peut-être chasser d’éventuels prédateurs…
Nous refaisons surface. Tout le monde dans le groupe semble conquis par la beautée de la plongée que nous venons d’accomplir. Le moteur démarre, direction Paradise beach, et nous laissons dans notre sillage l’Union Star, perdu au milieu des eaux chaudes malaises…
Epave secrète… et sportive !
Nous partons, direction… l’épave ! Anke et Peter, des amis à eux, Angelo, Nadine et moi. Et le GPS… même 2, au cas où il y en ai un qui tombe en panne . La traversée dure une petite demi-heure, pendant laquelle Peter ne cesse de stresser: au moindre bateau dans notre sillage, on sent son coeur accelérer ! Ouf, ce n’est qu’un ferry de passage. Il tient à garder l’épave secrète !
Nous
arrivons seuls, au milieu de rien; à proximité, quelques
bateaux de pêches sont là , les eaux sont poissonneuses. Alors
que nous fermons nos combinaisons, je remarque un logo bien connu sur
la combinaison d’Anke, le célèbre espadon de la marque Beuchat,
frappé de la mention « Since 1934 – Marseille ». Anke
a été la première à porter la combinaison anniversaire de
la marque marseillaise en Asie !
Nous voici à l’eau. Peter nous a prévenu, il peut y avoir pas mal de courant. Pour le moment nous ne sentons rien. Nous entamons la descente tous ensemble. Je ne distingue aucune épave sous mes palmes. 12m toujours rien… bizarre… L’eau parait pourtant claire !
Mais quelques mètres plus bas, la situation se corse. Nous entrons vers 18m, dans un épais brouillard… glacé ! Une eau chargée en plancton, et froide, à me demander sur le coup si je pourrais tenir en shorty.
Je regarde la température: 27 °C… nous avons perdu plus de 3 ° d’un coup. Ca devrait aller pour le shorty.
La voici ! Quelques secondes plus tard, elle apparait, camouflée dans son épais nuage de plancton, la barge gît dans une ambiance fantomatique, qui n’est pas sans déplaire à Peter.
Nous nous séparons en 2 palanquées pour commencer le tour de la barge. Je prend alors conscience que pour couronner le tout, nous sommes entrés dans un courant de fond qui rendra la plongée plutôt sportive ! Impossible de rester sur le fond sans palmer.
La barge n’a pas grand intérêt en elle-même. Elle ne mesure que 3m de haut pour 14 de long. Mais elle y abrite une faune exceptionnelle. Le sol est couvert de diadème, attention aux genoux !
Cela faisait à peine un instant que nous l’avions quitté, que Peter revenant vers nous par-dessus la barge, agite ses bras dans tous les sens en me faisant signe qu’il y a quelque chose à prendre en photo.
Nous le suivons rapidement, en survolant la barge, ce quie me laissera tout juste le temps de voir que celle-ci est couverte de gorgones superbes, se faisant un festin de plancton, tout polypes déployés.
Mais une fois de l’autre côté, plus rien. Peter déçu, nous expliquera qu’il y avait un requin léopard, et qu’il avait fait déguarpir tout le monde pour ne pas l’effrayer le temps que j’arrive avec l’appareil… quelqu’un a du bouger !
Nous continuons notre tour, sur les flancs percés où je tente en m’approchant de distinguer quelque chose à l’intérieur. Rien à voir, c’est sombre, et je n’ai pas de lampe digne de ce nom.
Au bout de la barge, une structure est posée en diagonale. En se penchant un peu, nous y découvrirons au moins une dizaine de requins bambou!
Autant dire qu’ils n’ont rien d’impressionnant, mais il est drôle de les voir s’entasser les uns sur les autres… et ils ont un profil sympa !
Difficile de les prendre en photo avec ce courant, sans l’aide d’Angelo et de Nadine, qui me maintiennent calé au fond.
Nous remontons sur la partie supérieure, un vrai jardin de gorgones rouges, jaunes, et pourpres. Au milieu desquelles, les fusiliers passent à toute allure. Nous assistons au spectacle.
Au bout de 20min, il est déjà temps de remonter. Nous nous alignons sur le système Padi, et les plongées sont programmées sans palier, mis à part le palier de sécurité. Nous remontons alors dans la zone lumineuse que nous avions quitté pour trouver l’épave. Rapidement nous apercevons les premiers platax (Spadefish ou Batfish) qui se joignent à nous.
C’est surement la plus belle remontée que j’ai faîte jusqu’à présent… Ils nous approchent et se font de plus en plus nombreux. Absorbé par la scène, je ne les compte même pas. Nadine le fera: 14!
Ils semblent glisser autour de nous, et une grande zénitude s’installe parmi nous. Chacun profite du moment. Nous faisons un peu trainer le palier de sécurité… puis nous refaisons surface, le sourire jusqu’aux oreilles.
Le temps de me libérer de mon bloc, mes plombs et mon appareil-photo, je remets mon masque pour jeter un dernier coup d’oeil. Les spadefish s’enfoncent dans le bleu… ils étaient bien là pour nous !
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